Interview

Nom : Alexandre Noël
Age : 41 ans
Ville : Saint-Pair-sur-Mer
Passions : La pêche, la navigation
Combat : Sensibiliser aux maladies rhumatismales
Découvrez l’interview d’Alexandre..
- Pourquoi avoir choisi de porter les couleurs de la Fondation dans cette aventure ?
Nous avons choisi cette cause car elle nous touche personnellement, Damien (co-skipper sur le projet) et moi. Nous sommes amis depuis longtemps, et sa femme, Marie-Charlotte, est atteinte de polyarthrite rhumatoïde. C’est à ce moment-là que nous sommes entrés en contact avec Lionel Comole.
Avant, nous étions de simples concurrents, et depuis 2000, nous naviguons ensemble. Nous ne nous sommes jamais perdus de vue et sommes désormais de très bons amis, j’ai même été son témoin de mariage.
- Quelle a été la réaction de vos proches à votre engagement ?
On en parlait depuis longtemps, sans réelle échéance et sans savoir quelle association nous allions accompagner dans cette aventure. Famille, enfants… il fallait absolument que tout le monde soit partant, à nos côtés. C’est chose faite ! Ils ont d’ailleurs tous hâte de nous attendre à l’arrivée en Martinique, en 2026.
Ils iront sûrement plus vite en avion que nous, d’ailleurs !
- Qu’avez-vous envie d’apporter, à votre échelle, à la recherche ou aux personnes atteintes de maladies articulaires ?
Égoïstement, j’aimerais réussir à guérir Marie-Charlotte, la femme de Damien. Cela me touche énormément.
Je suis également très sensible aux missions de sensibilisation de la Fondation : on y adhère pleinement et on essaie de les relayer lors de nos régates et sur nos réseaux, le plus efficacement possible.
- Quel message souhaitez-vous faire passer à travers cette traversée solidaire ?
Ce qui nous marque le plus dans le message de la Fondation, c’est l’idée de mouvement : continuer à bouger pour faire avancer les choses.
On aurait pu choisir une croisière plus relaxante, mais nous avons préféré une traversée sportive pour montrer qu’il faut se bouger pour cette cause.
« La recherche en mouvement » : on adore cet intitulé ! On le reprend souvent dans nos publications sur les réseaux sociaux.