Victor, jeune franco-canadien de 30 ans est devenu en 2017 un ambassadeur Arthritis en communiquant largement sur les enjeux de la Fondation lors de sa participation au Mongol Rally. Aujourd’hui, il s’engage une nouvelle fois auprès de la recherche sur les maladies articulaires en participant à la Mini Transat 2021 aux couleurs de la Fondation.
Qu’est-ce que la « MINI TRANSAT 2021 » ?
La Mini Transat est une course à la voile, en solitaire, sans assistance, sur des bateaux de 6.5m. Le parcours fait environ 4000 milles nautiques (7500km) soit 25 à 40 jours en mer. Cette année, le départ aura lieu le 26 septembre aux Sables d’Olonne, et la ligne d’arrivée à Saint-François en Guadeloupe (entrecoupé d’une escale à La Palma aux Canaries). Depuis la première édition, 1 043 marins y ont participé comme : Michel Desjoyeaux, vainqueur du Vendée Globe 2000 et 2008, ou encore Ellen Macarthur, record du tour du monde en solitaire en 2005. La Mini Transat est l’antichambre du monde de la course au large, 100% des participants au Vendée Globe 2020 y ont participé.
« Je m’associe à la Fondation Arthritis afin de récolter des fonds pour financer la thèse de Charles-Henry sur le lupus chez la femme. J’ai décidé de financer la thèse de Charles-Henry pour deux raisons. La première est que la formation et l’éducation me tiennent particulièrement à cœur. En effet, je suis également investi dans les écoles pour partager mon projet aux enfants. Puis la seconde raison, est que, travaillant chez Clarins je suis sensible à la cause des femmes et à leur bien-être. Le sujet de thèse de Charles-Henry avait donc du sens pour moi. »
– Victor
Compte à rebours avant le départ de Victor
Un jeune skipper finance un jeune chercheur !
Le projet de Victor à travers la Mini Transat est de collecter des fonds qui financeront durant 3 ans le projet de recherche sur le Lupus Érythémateux Systémique de notre jeune chercheur Charles-Henry Miquel en thèse CIFRE au sein d’Arthritis R&D.
« Mon travail de thèse porte sur le gène TLR7 qui joue un rôle important dans l’immunité antivirale mais qui est également impliqué dans la pathologie du lupus. Chez la femme, l’expression de ce gène va être augmentée. Mon projet consiste à analyser l’impact de ce dosage sur la susceptibilité et la sévérité du lupus chez la femme. »
– Charles-Henry
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