Si la Fondation Arthritis s’avère être la source n°1 de financements privés en France, elle a d’ores et déjà accompagné l’émergence d’une recherche française de qualité sur les rhumatismes articulaires. A son actif, plus de 600 projets financés, à hauteur de 8,5 millions d’euros ! Très impliquée dans chacun, la Fondation les suit pas à pas dans le respect d’une déontologie scientifique exemplaire.
En aval, elle finance la recherche sur les causes et conséquences – génétiques, inflammatoires et mécaniques – de ces maladies qui peuvent handicaper toute la population, enfant comme adulte, du syndrome de Gougerot-Sjögren aux spondyloarthropathies, de l’inflammation de l’articulation à son usure précoce…
En amont, il lui faut booster la découverte et l’évaluation de thérapeutiques innovantes. A ce titre, l’information auprès des professionnels et des médias s’avère perpétuelle et indispensable.
Rhumatismes mode d’emploi, où va la recherche ?
La Fondation Arthritis finance des projets de recherche académique, ainsi que des bourses de recherche qui pérennisent la discipline, en permettant aux meilleurs étudiants de réaliser leur projet de thèse dans ce domaine riche et complexe. In fine, suivant le précepte chinois « prévenir pour guérir », l’ensemble de son travail de communication met en lumière la nécessité d’un diagnostic précoce afin de limiter au plus tôt l’apparition de handicaps irréversibles.
Mais comment fonctionne la Fondation ?
Chef d’orchestre de la Fondation, le Conseil d’Administration (CA) délègue à un Bureau l’exécution de ses décisions. Le Bureau s’appuie sur le Département Scientifique, qui comprend le Comité d’Orientation Stratégique pour la Recherche (COSR), et le Conseil Scientifique (CS) qui travaillent de concert. Et si soutenir la recherche s’avère être un combat sans fin, la Fondation s’en donne les moyens. Reste à définir lesquels et comment ?
Le COSR définit la stratégie politique de recherche, et le CS expertise l’intégrité et le niveau scientifique des projets soumis lors de l’Appel d’Offres annuel. Ainsi, 12 membres, français et européens, fondamentalistes et cliniciens, évaluent chaque projet d’après le critère scientifique, l’adéquation avec les thèmes de la Fondation et l’éthique médicale. En fin de compte, le Conseil d’Administration valide l’équation budgétaire.
