Appel à Projets pour une bourse de thèse

Arthritis Recherche & Développement a établi un partenariat avec la société francophone pour la rhumatologie et les maladies inflammatoires en pédiatrie (SOFREMIP). La SOFREMIP est une société savante francophone, créée en 2001, qui assure la promotion de la formation et de la recherche dans le domaine de la Rhumatologie pédiatrique et des maladies inflammatoires de l’enfant.

Le but de ce partenariat est de promouvoir le développement de la recherche sur les particularités des rhumatismes inflammatoires pédiatriques, recharger la masse critique des chercheurs dans ce domaine et renforcer l’interdisciplinarité et les partenariats scientifiques pour une recherche transversale et intégrative.

Sur la base de ce partenariat, Arthritis Recherche et Développement lance un appel à projets pour une bourse de thèse en Sciences dans le domaine des rhumatismes pédiatriques.

La bourse de thèse sera attribuée pour 3 ans à un étudiant s’inscrivant en 2021 en 1ère année de thèse dans le cadre de la préparation d’une thèse de sciences . Il s’agit de financer toute la durée de la thèse (3 années).
Nous vous invitons à déposer vos candidatures avant le 21 JUIN 2021.
Pour en savoir plus sur les critères de sélection, téléchargez la présentation détaillé ici.

Postuler pour la Bourse de thèse

Participer

 

Pourquoi est-il important d’investir dans la recherche sur les RMS ?

Étant donné la prévalence des Rhumatismes Musculo-Squelettiques (RMS) et le fardeau que ces maladies imposent aux personnes en termes de réduction de mobilité, de capacité de travail et de qualité de vie et compte tenu de leurs conséquences économiques et sociales, la recherche sur les RMS devrait être considérée comme une véritable priorité de santé publique et nécessite d’être renforcée.

 

La recherche médicale est notamment indispensable pour comprendre les origines, les causes et les évolutions de ces maladies. Elle permet également de développer des outils diagnostiques plus précis, des thérapies plus efficaces pour limiter et prévenir leurs conséquences invalidantes et, éventuellement, ouvrir une voie vers un traitement curatif. Au cours des dernières années, la recherche et l’innovation dans les RMS a produit des résultats significatifs avec un impact important sur la qualité de vie des patients. L’alliance entre la recherche fondamentale et clinique a permis, par exemple, la découverte d’une nouvelle classe de médicaments innovants qui ont révolutionné le traitement de l’arthrite inflammatoire au début des années 2000. Il s’agit des biothérapies telles que les anti-TNF, qui ciblent spécifiquement des molécules de l’inflammation. Ces traitements ont considérablement amélioré la qualité de vie et le quotidien de nombreuses personnes atteintes d’arthrite inflammatoire.

Les investissements majeurs d’Arthritis Research UK (anciennement Arthritis Research Campaign) et du Medical Research Council ont permis de financer la majeure partie du long processus de recherche et de développement. Grâce à la recherche également, il y a quelques années, un test sanguin d’aide au diagnostic de la Polyarthrite Rhumatoïde (PR), les anti-CCP, a été développé et permet aujourd’hui d’établir un diagnostic précoce de PR et d’initier un traitement avant les destructions articulaires.

L’investissement dans la recherche sur les RMS permet non seulement d’améliorer la santé des patients mais génère également un gain pour le système de santé.

Chaque 1€ investi dans la recherche sur les RMS génère 7% de bénéfices

Et en chiffres …

Une étude réalisée au Royaume-Uni a montré que chaque 1£ investi dans la recherche sur les RMS génère 7% de bénéfices directs pour la santé et 15 à 18% de bénéfices supplémentaires pour l’économie en général chaque année, à vie. Plus généralement, il a été montré dans cette même étude qu’environ chaque 1€ investi dans la recherche médicale fournit un retour sur investissement en termes de frais de santé d’environ 0,25€ par an, à vie.

Ces résultats sont encourageants mais des efforts sont nécessaires pour continuer à soutenir la recherche afin de renforcer les capacités de recherche et accélérer la production de nouvelles connaissances et leur mise en œuvre dans la pratique.

Pourquoi la Fondation Arthritis?

La Fondation Arthritis constitue aujourd’hui la principale initiative privée en France de financement de la recherche sur les RMS.

Avec une dotation de 6 millions d’euros de départ et le mécénat de la société Clarins, la totalité des dons collectés auprès du public sont dédiés aux missions de la Fondation.

La Fondation soutient tous les aspects de la recherche. Elle porte un effort tout particulier pour favoriser la recherche translationnelle.

Cette recherche vise à accélérer le passage des données fondamentales acquises vers la preuve clinique. A ce titre, la Fondation Arthritis propose d’aider les équipes mixtes de chercheurs et de cliniciens à promouvoir des projets innovants, à la fois pour développer de nouveaux outils diagnostiques, mais également pour découvrir de nouveaux traitements pour les rhumatismes graves. L’aspect clinique de la recherche, celle qui se fait au contact direct des patients et de leur famille, est également soutenu par l’incitation au développement d’études épidémiologiques ou d’essais cliniques innovants.

Lancement du projet BACK-4P

Participez au développement de solutions digitales innovantes pour le mal de dos !

Le mal de dos affecte 9 personnes sur 10 en France. Dans 10% des cas, ce mal de dos peut devenir chronique, c’est-à-dire persister plus de 3 mois, et retentir sur les activités de la vie quotidienne ; familiale, sociale et professionnelle.

Dans ce contexte, les chercheurs du projet BACK-4P développent actuellement un programme de recherche pour mieux comprendre le mal de dos chronique et proposer des solutions innovantes grâce à une collaboration entre l’Hôpital Cochin (AP-HP, équipe du Pr François Rannou et du Dr Christelle Nguyen), le Centre de Recherche Épidémiologie et Statistique Sorbonne Paris Cité (INSERM, équipe du Pr. Isabelle Boutron et Pr Philippe Ravaud) et le Laboratoire d’Informatique pour la Mécanique et les Sciences de l’Ingénieur (CNRS, équipe du Pr Jean-Claude Martin).

La Fondation Arthritis, la Société Française de Rhumatologie et Malakoff Humanis financent le projet BACK-4P à hauteur d’1 million d’euros sur 3 ans.

Les objectifs de ce programme de recherche sont de mieux comprendre les caractéristiques des patients souffrant de mal de dos et l’évolution de leur lombalgie chronique, de développer des algorithmes pour prédire le risque d’évolution défavorable chez les patients (douleur, absentéisme, handicap persistant) et de proposer des solutions personnalisées de coaching grâce à une application smartphone.

Les patients participant à cette étude joueront un rôle actif et fondamental dans cette recherche.

Si vous avez mal au dos depuis au moins 3 mois, participez et aidez-nous à faire avancer le programme de recherche BACK-4P en déclarant votre mal de dos sur le portail ComPaRe (Communauté de Patients pour la Recherche). En vous connectant à votre espace personnel avec votre identifiant et votre mot de passe sur : ComPaRe – Je Participe (aphp.fr), ce portail sécurisé vous permettra de répondre, régulièrement, via des questionnaires en ligne, aux questions de notre équipe de recherche sur votre mal de dos, vos traitements, votre parcours de soins et vos expériences. L’ensemble des informations que vous accepterez de transmettre sera géré de façon totalement confidentielle et anonymisée, dans un but de recherche uniquement.

Etude Femmes, RIC et Psoriasis

Chercheuses

 

Pour la toute 1ère fois en France, une enquête à l’attention des femmes vivant avec un rhumatisme inflammatoire chronique rhumatismale ou dermatologique est lancée pour qu’elles puissent faire part de leur expérience et de leurs attentes. Ce projet à l’échelle nationale est porté par la Fondation Arthritis, un collectif de cinq associations de patients ainsi qu’un collectif de professionnels de santé.

 

États Généraux des femmes souffrant des maladies inflammatoires chroniques (MIC) rhumatismales ou dermatologiques

Pourquoi ?

Les prises en charge de femmes et des hommes atteints de RIC rhumatismale et/ou dermatologique est aujourd’hui similaire. Pourtant, les femmes sont confrontées à des réalités spécifiques (maternité, vie sexuelle, vie professionnelle…) à intégrer dans leur parcours de soin. En effet plusieurs données démontrent la différenciation des genres face à la maladie :

– Plus de 45% des femmes atteintes de SpA, PR et/ou Psoriasis ont des grossesses non planifiées, et 66% des femmes atteintes de RIC affirment devoir choisir entre traitement et allaitement

– Plus de la moitié des femmes souffrant de RIC et/ ou de Psoriasis rapportent un impact négatif de la maladie sur leur vie professionnelle et des épisodes de dépression

– Plus d’un tiers des femmes rapportent une libido réduite et moins de rapports sexuels depuis la maladie

Ces premiers États Généraux ont donc été motivés par deux enjeux : sensibiliser les professionnels de santé, les institutions, les autorités de santé et la sphère publique sur les défis et spécificités de la femme souffrant de ces maladies d’une part et améliorer le suivi et la prise en charge de la femme en intégrant ses réalités dans le parcours de soin d’autre part.

L’enquête

Les États Généraux s’articulent autour d’une enquête inédite nationale auprès des femmes vivant avec un rhumatisme inflammatoire chronique rhumatismale ou dermatologique. Cette première enquête est destinée à établir un état des lieux du vécu/expérience avec la maladie et les principaux besoins et attentes pour améliorer le quotidien. Le questionnaire est disponible sur les sites des associations et celui de la Fondation Arthritis.

Si vous souhaitez être informée des résultats de cette enquête, n’hésitez pas à adresser votre demande à l’association à laquelle vous adhérez ou par mail à la Fondation Arthritis.

 

Le déroulé du programme

Les résultats de cette enquête seront analysés et relayés lors de tables rondes organisées dans deux villes en France et qui seront des temps d’échanges et de réflexion entre professionnels de santé, représentants institutionnels, associations de malades et femmes dans le cadre des premiers États Généraux des femmes vivant avec un rhumatisme inflammatoire chronique rhumatismale ou dermatologique. Une synthèse des travaux sous forme de livre blanc sera réalisée et rendue publique au cours du 1er trimestre 2021.

 

COMPOSITION DU COLLECTIF ASSOCIATIF :

L‘association Action contre la spondylarthrite & RIC (l’ACS&RIC)

ACS France oeuvre dans le domaine médico-social, l’aide aux malades, le soutien moral et administratif, les conseils pour mieux vivre avec sa maladie, et édite son journal 2 fois par an et expédie des Newsletters toutes les semaines.

https://www.acs-france.org/

L’association Association Française de Lutte Anti-rhumatismale (AFLAR)

 L’AFLAR a été actrice de la « Décennie des Os et des Articulations (2000-2010), démarche de multipartenariat mondial sous l’égide des Nations Unies et de l’Organisation Mondiale de la Santé, visant à promouvoir la recherche, les soins et la prévention pour l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de rhumatismes.

https://www.aflar.org/

L’association France Spondylarthrites (AFS)

 L’AFS est une association administrée par des malades et pour les malades souffrant de spondyloarthrite partout en France.

https://www.spondy.fr/

L’association Nationale de Défense contre l’Arthrite Rhumatoïde (ANDAR)

L‘Association Nationale de Lutte contre Arthrite Rhumatoïde (ANDAR) a été créée en 1984 pour lutter contre la Polyarthrite Rhumatoïde. Elle a pour objectif de faciliter le dialogue entre les malades et tous les professionnels de santé impliqués dans la prise en charge des patients. Son rôle est aussi de défendre les droits des malades en sensibilisant les pouvoirs publics et les tutelles aux problèmes posés par cette maladie.

http://www.polyarthrite-andar. com/

L’association France Psoriasis

France Psoriasis répond à une préoccupation commune des initiateurs, qui, à un moment donné de leur existence, ont enduré ou endurent encore cette maladie, entraînant parfois une véritable altération de l’image de soi et des difficultés dans la communication avec autrui. France Psoriasis s’est donné comme principaux objectifs de :

– Redonner de l’espoir à tous les malades

– Améliorer le parcours de soin – Encourager la recherche

– Faire connaître le psoriasis et le rhumatisme psoriasique

https://francepsoriasis.org/

La Fondation Arthritis

Les rhumatismes et les maladies musculosquelettiques regroupent un ensemble de plus de 150 pathologies. Elles affectent 20% de la population à tous âges. Au cœur de la recherche depuis 30 ans, une structure privée reconnue d’utilité publique : la Fondation Arthritis !

www.fondation-arthritis.org

Le patient au cœur de la recherche

Le rôle des patients est incontestable dans l’élaboration et l’amélioration des soins et des interventions thérapeutiques, et ce grâce à leur participation active dans les essais cliniques. Aujourd’hui, la contribution du patient dans la recherche scientifique évolue. Le patient peut s’impliquer à chaque étape du processus d’un projet de recherche : de l’idée, en passant par l’élaboration des protocoles et jusqu’à la valorisation des résultats et l’application en pratique clinique.

Le patient au cœur de la recherche

Le patient étant au centre des résultats de la recherche, il est indispensable qu’il soit acteur dans la recherche, de l’identification des besoins cliniques et sociétaux jusqu’au choix de transfert des découvertes fondamentales.

Par ailleurs, l’élaboration d’un programme de travail collaboratif entre tous les acteurs de la recherche, tels que les pouvoirs publics, les patients, les chercheurs, les organismes de financement publics et privés, permettra d’identifier et de concentrer certains efforts sur des sujets d’intérêt public, d’accentuer le potentiel d’applications de la recherche en pratique clinique, de rendre la recherche plus accessible pour le grand public… le tout dans l’objectif commun de transfert de l’innovation au bénéfice du patient.

En accord avec sa nouvelle stratégie scientifique 2020-2025, la Fondation Arthritis s’est donné la mission de renforcer l’implication des patients dans ses projets de recherche. Un questionnaire a été élaboré par la Fondation Arthritis et adressé à des patients atteints de rhumatismes et maladies musculosquelettiques (RMS), contactés via les principales associations de patients. Ce questionnaire a permis de collecter le point de vue des patients sur les besoins non satisfaits dans les RMS ainsi que les priorités de la recherche sur les RMS, mais aussi de recueillir les propositions des patients afin de les impliquer davantage dans la recherche financée par la Fondation. La Fondation souhaite également impliquer les patients dans la communication des résultats de la recherche, notamment à travers ses liens étroits avec les associations de patients, afin que l’information communiquée soit accessible, pertinente et ciblée.

Zoom sur ComPaRe : la Communauté de Patients pour la Recherche

ComPaReComPaRe, la Communauté de Patients pour la Recherche est un projet de recherche innovant de l’AP-HP qui a pour ambition d’accélérer la recherche sur les maladies chroniques. ComPaRe, rassemble les patients qui s‘engagent à faire avancer la recherche sur leurs maladies chroniques, en répondant simplement, via internet, aux questionnaires des chercheurs. Les patients répondent à des questions portant sur leur vécu de la maladie, leurs symptômes, le fardeau du traitement, leur prise en charge. Début janvier 2019, ComPaRe rassemble 20 200 patients volontaires, venant de toutes les régions de France et des pays francophones. L’objectif de l’AP-HP pour ComPaRe est de réunir à terme au moins 100 000 patients volontaires. ComPaRe est aussi, pour les chercheurs, une plateforme collaborative unique d’accélération de la recherche sur les maladies chroniques. Elle offre à toute équipe de recherche publique, hospitalière, universitaire ou institutionnelle de nouveaux moyens pour mener leurs travaux sur ce type de pathologies : elle facilite l’identification des patients éligibles, accélère le recrutement des participants, organise le partage de données entre différentes équipes, simplifie les démarches administratives et juridiques et réduit les coûts des études.

Qui peut participer ?

Tous les patients majeurs, francophones, détenteurs d’une adresse mail et pris en charge pour une ou plusieurs maladies chroniques (c’est-à-dire une affection nécessitant un suivi médical de plus de six mois) peuvent rejoindre la communauté ComPaRe. Toutes les pathologies chroniques sont concernées : > des maladies fréquentes comme l’asthme, le diabète, la bronchite chronique, le cancer, l’hypertension artérielle, les maladies rénales, la lombalgie chronique ; > des maladies moins connues comme l’endométriose, le vitiligo, la maladie de Verneuil, la maladie de Crohn ou encore des maladies rares.

Les patients acteurs de la recherche

Les patients volontaires s’inscrivent et contribuent directement en ligne, sur la plateforme hébergée et sécurisée https://compare.aphp.fr. Ils n’ont ainsi pas à se déplacer et répondent à des questionnaires, élaborés par des chercheurs, sur leur(s) maladie(s), leurs symptômes, leurs traitements, leurs vécus et leurs impacts sur leur vie quotidienne et leur qualité de vie. En fonction de leur(s) pathologie(s), ils y consacrent entre 10 et 30 minutes par mois.Au-delà de la réponse aux questionnaires, les patients volontaires peuvent aussi apporter leurs contributions à toutes les étapes de la recherche clinique : ils participent à la gouvernance des études via les conseils scientifiques, à la conception des études, à la réalisation des études et à la promotion de la communauté (via les patients ambassadeurs).

Recherches menées dans ComPaRe

Les recherches menées dans ComPaRe sont à la fois des recherches transversales, communes à l’ensemble de ces pathologies, ou des recherches verticales, portant sur une pathologie spécifique, comme c’est le cas du projet BACK-4P soutenu par la Fondation Arthritis. Huit cohortes dédiées à la lombalgie chronique, au diabète, à la maladie de Verneuil, au vitiligo, aux maladies rénales, aux vascularites, à l’hypertension artérielle et l’endométriose ont été mises en place depuis 2017 et de nouvelles cohortes spécifiques seront constituées au cours de l’année.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur : https://compare.aphp.fr/

Succès retentissant du livre « Belle dans mes recettes » du Dr Olivier Courtin

Le livre « Belle dans mes recettes » publié en mars 2020 par le Dr Olivier Courtin, dont l’ensemble des bénéfices est reversé à la Fondation Arthritis, tire son premier bilan très positif !

Après près d’un an, nous sommes ravis d’annoncer que plus de 57 000€ ont déjà été reversés à la Fondation Arthritis pour financer la recherche médicale.

Un grand merci à Clarins et Olivier Courtin-Clarins !

« Belle dans mes recettes », en quelques mots

Avec son livre « Belle dans mes recettes », le Dr Olivier Courtin vous invite à découvrir les quatre saisons de la peau d’une manière aussi savoureuse qu’inattendue.

Chaque saison débute par l’attention particulière qu’il faut prêter à sa peau pour en prendre soin et retarder au maximum les effets du vieillissement, du soleil, de la pollution, du vent, des températures extrêmes avec des conseils simples et faciles à mettre en place.

La philosophie de l’auteur étant une approche globale du bien-être, on bascule tout naturellement et avec gourmandise vers des menus de saison. Pas moins de 48 recettes organisées par menus, avec entrée, plat et dessert, et classées par mois, dont 12 recettes de Chefs, pour préparer des plats savoureux, bons pour la peau et pour le moral !

Son défi, prendre pour inspiration les produits de soin et de maquillage Clarins et y piocher des actifs végétaux comestibles – sur les 250 actifs végétaux de l’herbier Clarins, plus de la moitié sont comestibles – pour les utiliser comme ingrédients des recettes.

Naturalité, goût, variété, saisonnalité et créativité sont les mots d’ordre de chacune des recettes car notre peau et notre teint en particulier sont bien le reflet de ce que l’on mange !

« Belle dans mes recettes » est toujours en vente et disponible sur Clarins

Nos chercheuses à l’honneur !

En cette Journée internationale des femmes et des filles de science, nous avons décidé de saluer nos chercheuses au sein de la Fondation à travers Arthritis R&D, qui font avancer la recherche médicale sur les RMS.

La Journée internationale des femmes et des filles de science, célébrée chaque année le 11 février, a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies afin de promouvoir l’accès et la participation pleine et équitable des femmes et des filles à la science. Cette journée permet de rappeler que les femmes et les filles jouent un rôle essentiel dans la communauté scientifique et technologique et que leur participation doit être renforcée. La célébration est menée par l’UNESCO et ONU-Femmes, en collaboration avec des institutions et des partenaires de la société civile qui promeuvent l’accès des femmes et des filles à la science ainsi que leur participation à la science. (Source : Journée internationale des femmes et des filles de science (unesco.org))

Zoom sur Arthritis R&D

La société Arthritis Recherche et Développement, détenue à 100 % par la Fondation, a été créée en 2014. Elle a vu le jour afin de renforcer le travail de la Fondation Arthritis et d’insuffler une profonde volonté de tourner la recherche vers le patient. La société Arthritis R&D s’est fixée comme objectifs ambitieux à sa création de :

  • Augmenter le capital humain de chercheurs en rhumatologie
  • Structurer la recherche en rhumatologie en réseaux d’excellence français idéalement avec des collaborations avec des équipes européennes.
  • Porter des projets collaboratifs Public/Privé Arthritis R&D travaille au montage et au financement de projets collaboratifs en partenariat avec des industries pharmaceutiques.

 

Nos chercheuses et collaboratrices scientifiques au sein d’Arthritis R&D

Yosra Messai,
Directrice
scientifique
/

 

Sandy Van Eegher,
Chef de
projets scientifiques
/

 

Marie Hémon,
Thèse CIFRE Arthritis R&D
sur la pathologie de la Polyarthrite Rhumatoïde

 

Eve Combes,
Chercheuse post-doctorante
projet Cure-RA

 

Nerea Allende Vega,
Chercheuse post-doctorante
projet Cure-RA

 

Florence Apparailly, une scientifique engagée ! 

Florence Apparailly

Membre du Comité d’Orientation Stratégique de la Recherche (COSR) d’Arthritis R&D, Directrice de recherche à l’Inserm Montpellier et membre de l’association Femmes & Sciences, Florence Apparailly, nous raconte son engagement dans la quête de parité dans le monde scientifique.

Quelle est la mission de l’association Femmes & Sciences ?

La mission de Femmes & Sciences est de promouvoir les sciences et techniques auprès des jeunes, filles et garçons, et promouvoir les femmes dans les sciences et techniques.

Quelle fonction occupez-vous au sein de l’association ?

Je suis simple adhérente de l’association Femmes & Sciences depuis 2015, et membre fondatrice du programme de Mentorat Femmes & Sciences qui a été lancé en 2015 pour les doctorantes de l’université de Montpellier, puis repris par les universités de Toulouse en 2017 et de Paris-Saclay en 2018. Je fais partie du comité de pilotage de ce programme de mentorat et suis également mentor dans le programme. Enfin, je porte le projet « Egalité Elles Assurent » (EEA) pour lequel notre association a obtenu un soutien de la Région Occitanie, dans le cadre de l’appel à projets 2018-2021 pour une égalité réelle entre les femmes et les hommes en Occitanie. Le programme de mentorat en particulier est pour moi la possibilité de combattre le plafond de verre dans le milieu scientifique en soutenant mes jeunes consœurs.

En quoi cette journée est-elle importante pour vous et votre association ?

Cette journée est importante car (comme le 8 mars), elle est l’occasion pour nous de mener des actions d’information sur les missions de l’association, et nous permet d’avoir un peu de visibilité. Un grand nombre d’actions sont menées en Île-de-France et région par l’association pour la Journée internationale des femmes et des filles de science, souvent en partenariat avec des instances locales (mairies, préfectures, établissements scolaires) pour faire connaître l’association, ses actions, et avoir des débats sur la parité dans nos domaines scientifiques et technologiques. Par exemple, l’affichage en Île-de-France des portraits de l’exposition « La Science taille XX Elles », et à Montpellier des interventions dans des écoles de la région et terminales scientifiques.

La fondation sur les réseaux